A LA DOUCE MÉMOIRE DE Jean Erich René
Un être aimé s’en est allé.
Une brillante étoile s’est éteinte.
Mon amour,
Dis moi que c’est un cauchemar, un mauvais rêve et que bientôt je vais t’entendre chuchoter à mes oreilles « un beso…un beso » dont l’ écho résonne: » amour…amour.. amour à n’en plus finir.
Quelle fierté, quelle grâce d’avoir été doté d’un compagnon aussi agréable et plaisant.
Que ton âme soit bénie et qu’au son de la trompette tu te réveilles pour entonner avec les élus » L’hymne triomphal à l’Agneau immolé.
Mon amour, bon repos.